Arriver de Misachi par le désert

Deux jours après sa fuite du village de l'Herbe, Misachi avait prit le chemin le menant au désert ardue de Suna. Il marcha presque toute la journé, sans jamais cesser de grimper, à travers les dunes de sables qui s'étendaient sur des kilomètres. La plupart du temps, Misachi avancait comme un somnambule, lanciné par la chaleur du soleil, presque au-delà de l'épuisement du corps et de l'esprit.

- ** Jamais tu ne me vaincras petit soleil! Hehehe!**

Il fit halte sous un palmier entouré pierre pour se reposer brièvement.Il faisait si chaud que des traînées de chaleur s'affalait sur les dunes de sables, en luisant d'un éclat fantomatique dans la lumière du soleil, mais Misachi ne s'en apercut même pas. Lorsque que l'astre lumineux commencat a descendre pour ce coucher, Misachi sombra dans un sommeil léger et fiévreux. À son réveil, il était en sueur même si la chaleur avait complètement disparu pour laisser place a de douce nuée de vent frais.

- ** Imbécile! Comment est je pus m'endormir alors que j'ai quelque chose d'important a faire. J'ai perdu trop de temp il faut que je me grouille!**

Misachi se leva péniblement, en chancelant légèrement tandis que la sueur se retirait de son visage. Il profita de la nuit pour se laver le visage dans une petite source d'eau cachée entre des pierres, après quoi il fourra de l'eau dans sa bouche desséchée. Un peu plus loin, au pied d'une chaîne de montagne s'étendait le village de Suna.

- ** J'ai enfin trouvé ce satané village ninja. Je ne pense pas tenir plus d'une demi journée. Allez!**

Cette longue marche lui donna des accès de fièvres et de frissons, de douleurs lancinantes à la tête à cause du soleil et des problèmes au poumons à cause du sable, à quoi s'ajoutèrent au bout de deux heures des contusions et des brûlures aux pieds ainsi qu'une soif continuelle. Il ne lui fallut que de 8 heures pour traverser le reste de désert avant d'arriver devant les portes du village cachée de Suna. Un civile qui sortait pour aller récupérer des fleurs de cactus vit Misachi au loin et lui addressa la parole:

- Tiens un voyageurs venant du désert. Avez vous vu beaucoup de Cactus fleuri sur votre route car je dois en chercher pour ma femme?

- Qui est tu pour me questionner! J'aimerais tellement m'occuper de ton cas mais je n'en est plus la forc....

Misachi s'éffondra et vit le civil appelé les gardes de la portes pour venir vois si j'allais bien. Sa vue commencait a devenir flou et finis par tomber dans un noir profond: L'inconcience.

La nuit commençait à tomber au moment où le Kazekage posa son stylo sur l’énorme bureau tout en soupirant. Cela faisait des jours qu’il réfléchissait à comment améliorer le village, sans pour autant bousculer tout le monde. M’enfin, être Kage n’était pas une mince à faire. Toutes les informations devaient lui être transmises, il devait être au courant de tout ce qui se passe au Village, presque à la minute près ! Se levant tranquillement du siège où son père était assis quelques années auparavant, Gaara se dirigea vers la porte du bureau, et tendit la main en cette direction. Au moment où il s’apprêtait à actionner la poignée, la porte s’ouvrit à la volée. Décidément, les ninjas de Suna se faisaient une habitude de ne pas frapper avant d’entrer ! Le sable se mit au travers de la main et de la porte, pour éviter ainsi que l’un cogne l’autre. De l’autre côté du cadre, se trouvait un ninja que la Kage avait chargé de surveiller l’entrée du Village le matin même.

- Kazekage-sama ! Oh, veuillez m’excuser… Euum.. Ah ! Un homme a été trouvé inconscient dans le désert devant les portes, nous l’avons transféré à l’ombre, à la limite du Village et des médecins sont entrain de le faire se réveiller. C’est un civil du Village qui a prévenu les gardes, il a aussi ajouté que l’homme en question l’a menacé avant de s’évanouir.
- Bien.

Le ninja fit une légère courbette habituelle, et s’en alla. Ce signe de respect, Gaara ne l’aimait pas trop, mais après tout, tant pis. N’ayant rien de mieux à faire, il se rendit aux portes et découvrit avec surprise le nouveau venu, encore inconscient. A en croire sa tenue, et son état physique, il avait dû traverser le désert sans prendre la moindre précaution. L’homme était couché dans un lit d’une infirmerie montée à la va vite, et, à côté du lit, un énorme katana était posé à terre. Même le Godaime Kazekage n’en cru pas ses yeux en voyant la taille de l’arme. Jamais il n’avait vu une arme blanche aussi volumineuse. Mais la chose qui le laissa d’autant plus perplexe était le masque déposé sur son visage. Cet homme était-il un ninja, un vagabond, un Nuke-nin ? Arf, après tout, il n’était pas encore éveillé, ces questions se poseront d’elles-mêmes bien plus tard. Un médecin apparut derrière le Kage et lui fit un rapport assez bref.

- Kage-sama. Cet homme a subi une insolation d’une importance considérable, mais il a l’air très résistant. Le masque sur son visage, aucun de nos ninjas, moi y compris, n’arrive à le lui enlever. Kazekage-sama, avec votre force, peut-être que vous…
- Pourquoi lui enlever ce masque ? Après tout, ce qu’il y a derrière ne nous regarde pas.

Il fit signe au médecin de prendre congé, alors que celui-ci avait la bouche grande ouverts, ébahi par la réponse de Gaara. Le ninja finis par disparaître dans un nuage de poussière, laissant l’homme inconscient seul avec le Kage dans l’espèce d’infirmerie. Que faisait-il devant les portes de Suna ? D’après le caractère cité du civil, cet homme n’était pas des plus convivial. Bon, après tout, peut être que le civil avait un peu exagéré ou cherché des ennuis… M’enfin, comme dit, ils verraient ça plus tard. Gaara observa encore quelques instants cette personne puis fit demi-tour lui aussi pour prendre place sur une chaise quelques mètres du lit. La nuit tombait de plus en plus vite, le froid désertique commençait à se répandre un peu partout…

Misachi se réveilla brûlant, en proie à une soif insupoportable. Il faisait clair et il pensa qu'on étais au matin. Pris d'un terrible sentiment d'urgence, il entreprit de se lever en cherchant a tâtons son Zanpakutô. À côter de lui assis sur une chaise se trouvait un jeune garcon aux cheveux rouges orangés avec le Kanji de l'Amour tatoué sur son front. Misachi avait survécu à ce désert évidemment mais n'était pas encore en forme pour ce battre si quelqu'un venait à l'attaquer. Une femme entra avec de l'eau et un bol rempli d'une infusion d'écorce de saule.

- Buvez ceci, voulez vous, dit la femme un peu effrayé par l'homme au masque.

Misachi avala d'un trait l'eau dont la douce fraîcheur apaisa sa bouche et sa gorge dessechées. Puis il but l'infusion, plus lentement. L'écorce de saule atténua la douleur et supprima la fièvre pendant quelque temps. Il regarda denouveau le jeune garcon et vit que à ces côter ce baladait un peu de sable.

- T'es qui toi et pourquoi vous m'avez aidé? e pouvais très bien me débrouiller tout seul.

Il se leva mais ses jambes se dérobèrent sous lui et il s'éffondra.

- Rhaaa! Qu'est ce qui m'arrives!

Des gouttes de sueur se remirent à tomber de son front et la femme revint avec des chiffons mouillés d'eau froide.

- Reposez vous encore un peu s'il vous plaît.
- Laissez moi un peu tran... KUF KUF!

Misachi sombra denouveau dans un sommeil profond. La fièvre fut intense mais de courte durée. Il ouvrit les yeux et vit que le garcon était encore là à le surveiller et apparemment il n'avait pas dormis.

- T'es qui toi à la fin?

T'es qui toi, t'es qui toi ? Cette manière d'être aussi direct lui fit penser à Naruto. Une personne insolente, vraiment pas douée, mais libre et aux convictions inviolables. Qu'était-il devenu, au fait ? Il enverrait quelqu'un à Konoha, lui-même devant rester au Village. On ne sait jamais ce qu'Akatuski prépare dans l'ombre la plus totale. L'homme au masque lui ressemblait, sauf que Naruto n’aurait jamais demandé la raison de l’aide du jeune homme. M’enfin, peut être que si. Gaara était resté impassible, de marbre, et aucun mot n’était sortit de sa bouche. Même lorsque le malade avait repoussé l’infirmière, il n’avait fait que regarder la scène. Bien sûr, le sable qui tournoyait gaiement se tenait prêt à sa place à contrer une quelconque attaque envers qui que ce soit. Il ne prit la parole qu’au moment où l’homme sembla stabilisé niveau fièvre, et niveau nerfs.

- Je me nomme Gaara. Sabaku no Gaara. Je suis le Godaime Kazekage. Et toi, qui es-tu ?

Comme d’habitude, il ne parlait pas beaucoup. L’infirmière revint avec cette fois deux tasses de thé. Elle en porta une au Kage, après une légère courbette, puis tendit la deuxième des tasses à l’homme au masque. Gardant le plateau contre elle, elle prit la parole, remarquant le blanc qui c’était installé entre les deux hommes.

- C’est un thé de cette année, fait avec des plantes aquatiques en provenance du Pays de l’Eau, mélangée à des plantes désertiques de Suna no Sato. C’est un mélange contre toute insolation et quelques maladies étranges, concocté par Ebizou-sama.

Elle se tourna vers Gaara en particulier ces dernières paroles, car après tout, l’homme au masque ne connaissait peut être pas l’un des plus vieux personnages de Suna. Ne sachant plus comment détendre l’atmosphère, elle serra son plateau de plus belle, et Gaara reprit la suite, ne voulant pas qu’elle se sente gênée.

- Ebizou-sama est une personne… géniale. Que ferions-nous, ici, sans lui ? Même s’il est occupé la plupart du temps à ne rien faire, ressentir sa vieille présence me rassure en quelques sortes.

L’infirmière acquiesça d’un sourire puis pris congé gentiment. Les yeux du Kage filèrent dans les étoiles. Ebizou-sama, le frère jumeau de Chiyo-baa. Cette vieille femme qui avait échangé sa vie contre celle de Gaara. Le Kage éprouvait une telle culpabilité envers cette personne, cependant, il avait maintenu ses convictions, plus durement que jamais, pour que, plus jamais, quelqu’un se sacrifie pour lui. Il protégerait le Village, au péril de sa vie ! Son regard se posa à nouveau sur l’homme au masque, qui n’avait plus dis un mot depuis. Etait-il choqué d’avoir en face de lui le Kazekage ? Hmm, non, sûrement pas. Audacieux et insolent comme il paraissait, cela ne devrait pas trop le choquer. Que faire à présent ? Après un silence assez prolongé, il prit à nouveau la parole. Etonnant, non ?

- Alors ? Tu ne dis plus rien. Si c’est le cas, je m’en vais.

Il se leva de la chaise tranquillement et se dirigea vers la porte, attendant ne serait-ce qu’une réponse, au cas où.

[HRP : Ch'tit poustounet, pas d'inspi en ce moment... Gomen...]

HRP: Désolé mais sur ce Post j'ai vraiment très mal écrit je suis un peu fatigué donc désolé.

Misachi finit le breuvage étrange que lui avait donné la femme qui l'avait soigné de sa fièvre presque mortel. Le jeune garcon lui dit que si il n'avait plus rien à dire il pouvait partir ce qui fit rire Misachi.

- HIhahaha! Je viens du village de l'herbe qui est non militaire donc je ne connais pas trop les grades de chez vous. Mais vu ton le chakra que tu dispose je suppose que Kazakage doit être le meilleure du village et franchement si j'avais récupérer toute ma force je me serais probablement combattu contre toi.

Misachi se leva et empoigna son zanpakutô pour le mettre dans son dos. Il marchat vers la sortie du l'infirmerie et s'arrêta juste à côter du Kage de Suna.

- Je me nomme Misachi menbre du clan Ôkami. Bien sûr si tu veux savoir plus de choses sur moi et mon passé, il faudras que tu me battes. En attendant que mes forces soit restauré je resterais dans ton village que tu le veuille ou non.

Deux ninjas apparurent derrière Misachi chacun avec un kunai près à lui couper la gorge.

- Nous n'acceptons pas que tu parles au Kazakagede cette facon. Monsieur pouvons nous le tuer pour toute les atrocité qu'il a dit a votre égard? Personne ne vous a ja...

Ils n'eurent pas le temp de finir leur phrase que Misachi prit dans chaque main un de leur kunai et leur arracha des mains pour leur enfoncer dans la jambe juste après. C'était plutôt étonnant même exceptionnel qu'il ne les vait pas tuer. Il marchat un peu pour voir si ces jambes n'étaient plus tremblante puis après confirmation se retourna et fit un signe au jeune Kazekage.

- Je vais essayer de trouver un endroit où les gens ne m'embêteront pas ce qui éviteras des pertes dans ton village. Souhaites tu encore me dire quelque chose?

Les gens au alentour effrayé par l'inconnu se réfugièrent chez eux et un peu plus loin des médecins accoururent pour venir les blessure superficiel des deux ninjas.

Le Kazekage attendait à la sortie de l’infirmerie, en cas ou le nouveau visiteur venait à lui demander quelque chose. Et en effet, celui-ci arriva, manifestant constamment son envie de combattre. Ce qui n’était pas raisonnable, voir même complètement insensé vu l’état duquel il sortait. Gaara ne prêta pas réellement attention à ses vociférations, il n’avait nullement envie de perdre du temps avec lui, et encore moins pour le connaître plus… Son nom lui suffisait amplement. D’ailleurs, le Kazekage trouvait cela ridicule, de vouloir se battre pour divulguer sa vie. Si cela l’intéressait réellement, des ninjas de haut rang seraient suffisant pour accomplir cette tache. Il était cependant, très bruyant, ce qui générait quelques gênes, à lui ainsi qu’aux ninjas qui surveillaient le bâtiment. Alors que le prénommé Misachi prononça ses derniers mots, deux ninjas, à la patience limitée visiblement, tentèrent de corriger le jeune insolent. Le Kazekage ne bougea pas d’un cil, observant à son habitude la scène d’un air ennuyé. Car, à peine les deux gardes avaient t’ils proposé de le tuer que le Jounin masqué les désarma. Les kunais qui menaçaient la gorge de l’inconnu finirent plantés aux jambes des deux ninjas. Cet homme ne comprenait vraiment rien à la vie. Les kunais furent stoppés à la seconde près par le sable du jeune rouquin. Les ninjas qui auraient dû être blessés observaient avec des yeux ronds, pleins de stupeur ce qui venait de se produire. L’homme au masque fit quelques pas en avant, certainement pour vérifier son état, mais le jinchuuriki restait sur ses gardes. Misachi lui prévint de manière impertinente qu’il s’installerait dans le village, lui retournant ensuite la question que Gaara avait posée quelques minutes auparavant.

- Oui, il me reste une chose à te dire : ne t’avise plus à l’avenir de toucher à un cheveux des ninjas ou civils habitants à Suna no Sato. Ah, et malgré ta stupidité infantile, ton niveau est équivalent à celui j’un Juunin, retient ceci. Sur ce, j’ai d’autres choses à faire.

Son regard devint plus irrité : l’attaque envers ses ninjas était une des choses à ne surtout pas faire pour l’énerver. Retenant le sable tout aussi sur les nerfs, il disparu au milieu d’un halo de poussière sableuse.

Arriver de Misachi par le désert Gaaradk7

[Tout ch'tit post, mais là j'sais vraiment plus quoi faire XD]

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